
Protocole de Kyoto
Renseignements g??n??raux
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Protocole de Kyoto ?? la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques | |
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* Remarque: Dans le cadre de la 2010 accords de Canc??n, 76 pays d??velopp??s et pays en d??veloppement ont pris des engagements volontaires pour contr??ler leurs ??missions de gaz de serre. | |
Sign?? | 11 D??cembre 1997 |
Emplacement | Kyoto |
Efficace | 16 F??vrier 2005 |
??tat | Ratification par 55 ??tats ?? la Convention, les ??tats incorporant ?? l'annexe I qui repr??sentait au total au moins 55 pour cent du total des ??missions de dioxyde de carbone en 1990 des Parties vis??es ?? l'annexe I |
Signataires | 83 |
Ratifiants | 192 |
D??positaire | Secr??taire g??n??ral de l'Organisation des Nations Unies |
Langues | Arabe, chinois, anglais, fran??ais, russe et espagnol |
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Doha Amendement au Protocole de Kyoto | |
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Rep??ch?? | 8 D??cembre 2012 |
Emplacement | Doha , Qatar |
Efficace | pas en vigueur |
??tat | ratification par 3/4 des Etats membres |
Ratifiants | Aucun |
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= Annexe I Parties gris fonc?? qui ont accept?? de r??duire leurs ??missions de GES en dessous de leurs niveaux de l'ann??e de base individuelle (voir la d??finition dans cet article)
Gris = Parties de l'Annexe I qui ont accept?? de plafonner leurs ??missions de GES ?? leur niveau de l'ann??e de r??f??rence
I Parties gris = non-Annexe p??les qui ne sont pas tenues par des chapeaux ou Annexe I Parties avec un plafond d'??missions qui permet ?? leurs ??missions d'??tendre dessus de leurs niveaux de l'ann??e de base ou des pays qui ne ont pas ratifi?? le Protocole de Kyoto
Pour les engagements sp??cifiques de r??duction des ??missions de l'Annexe I Parties, consultez la section de l'article sur les objectifs 2012 d'??mission et ??m??canismes flexibles?? .
L'Union europ??enne dans son ensemble a en conformit?? avec le Protocole de Kyoto se est engag??e ?? une r??duction de 8%. Toutefois, de nombreux ??tats membres (comme la Gr??ce, l'Espagne, l'Irlande et la Su??de) ne se sont pas engag??s ?? une r??duction alors que la France se est engag??e ?? ne pas ??tendre ses ??missions (de r??duction de 0%). Comme au Groenland: est partiellement engag?? ?? travers le Danemark. Cependant, rien ne indique que le Groenland se est engag??e ?? une r??duction vers le Danemark.
Le Protocole de Kyoto ?? la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) est un trait?? international qui ??tablit des obligations contraignantes sur les pays industrialis??s ?? r??duire les ??missions de gaz ?? effet de serre . La CCNUCC est un trait?? environnemental dans le but de pr??venir anthropique "dangereux" (ce est ?? dire, d'origine humaine) interf??rence du syst??me climatique. 191 pays (tous membres de l'ONU, ?? l'exception d'Andorre, le Canada, le Sud-Soudan et les ??tats-Unis), ainsi que l'Union europ??enne sont Parties au Protocole. Les ??tats-Unis ont sign?? mais n'a pas ratifi?? le protocole et le Canada a retir?? de lui en 2011. Le Protocole a ??t?? adopt?? par les Parties ?? la CCNUCC en 1997, et entr?? en vigueur en 2005.
Dans le cadre du Protocole de Kyoto, de nombreux pays d??velopp??s ont accept?? de limitations / r??ductions de leurs ??missions de gaz ?? effet juridiquement contraignant en deux p??riodes engagements. La premi??re p??riode d'engagement se applique aux ??missions entre 2008-2012, et la deuxi??me p??riode d'engagement se applique aux ??missions entre 2013-2020. Le protocole a ??t?? modifi?? en 2012 pour tenir compte de la deuxi??me p??riode d'engagement, mais cet amendement a (?? partir de Janvier 2013) ne est entr?? en vigueur juridique.
Les 37 pays avec des objectifs contraignants dans la deuxi??me p??riode d'engagement sont l'Australie, tous les membres de l'Union europ??enne, le B??larus, la Croatie, l'Islande, le Kazakhstan, la Norv??ge, la Suisse et l'Ukraine. Bi??lorussie, le Kazakhstan et l'Ukraine ont d??clar?? qu'ils peuvent se retirer du Protocole ou non mettre en vigueur l'amendement juridique avec des objectifs de second tour. Japon, Nouvelle-Z??lande, et la Russie ont particip?? ?? la premi??re ronde de Kyoto mais ne ont pas pris de nouvelles cibles dans la deuxi??me p??riode d'engagement. D'autres pays d??velopp??s sans cibles de second tour sont le Canada (qui se est retir?? du Protocole de Kyoto en 2012) et les ??tats-Unis (qui ne ont pas ratifi?? le Protocole).
International ??change de droits d'??missions permet les pays d??velopp??s au commerce leurs engagements au titre du Protocole de Kyoto. Ils peuvent ??changer des quotas d'??missions entre eux, et peuvent ??galement recevoir un cr??dit pour financer des r??ductions d'??missions dans les pays en d??veloppement. Les pays d??velopp??s peuvent utiliser le commerce des ??missions jusqu'?? la fin de 2014 ou 2015 pour r??pondre ?? leurs objectifs de la premi??re ronde.
Les pays en d??veloppement ne ont pas d'objectifs contraignants dans le cadre du Protocole de Kyoto, mais sont encore engag??s dans le cadre du trait?? pour r??duire leurs ??missions. Les mesures prises par les pays d??velopp??s et en d??veloppement pour r??duire les ??missions incluent un support pour les ??nergies renouvelables , l'am??lioration de l'efficacit?? ??nerg??tique et la r??duction la d??forestation. En vertu du Protocole, les ??missions des pays en d??veloppement sont autoris??s ?? cro??tre en fonction de leurs besoins de d??veloppement.
Le trait?? reconna??t que les pays d??velopp??s ont le plus contribu?? ?? l'accumulation anthropique de dioxyde de carbone dans l'atmosph??re (environ 77% des ??missions entre 1750 et 2004), et que les ??missions de dioxyde de carbone par personne dans les pays en d??veloppement (2,9 tonnes en 2010) sont, en moyenne, inf??rieur ?? celui des ??missions par personne dans les pays d??velopp??s (10,4 tonnes en 2010).
Un certain nombre de pays d??velopp??s ont fait remarquer que les objectifs de Kyoto ne se appliquent qu'?? une petite part des ??missions mondiales annuelles. Pays ayant des objectifs de Kyoto de second tour constitu??s 13,4% des ??missions mondiales annuelles de gaz ?? effet de serre anthropiques en 2010. De nombreux pays en d??veloppement ont soulign?? la n??cessit?? pour les pays d??velopp??s d'avoir de solides, des objectifs contraignants d'??missions. ?? l'??chelle mondiale, les politiques existantes semblent ??tre trop faible pour emp??cher le r??chauffement climatique sup??rieur ?? 2 ou 1,5 degr??s Celsius, par rapport au niveau pr??-industriel.
Fond
Le point de vue que les activit??s humaines sont probablement responsables de la plupart de l'augmentation observ??e de la temp??rature moyenne mondiale (??r??chauffement plan??taire??) depuis le milieu du 20e si??cle est un reflet fid??le de la pens??e scientifique actuelle. R??chauffement anthropique du climat devrait se poursuivre tout au long du 21e si??cle et au-del??.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'??volution du climat (GIEC, 2007) ont produit une s??rie de projections de ce que l'augmentation future de la temp??rature moyenne mondiale pourrait ??tre. Les projections du GIEC sont "Base" projections, ce qui signifie qu'ils assument pas les efforts futurs sont d??ploy??s pour r??duire les ??missions de gaz ?? effet de serre. Les projections du GIEC couvrent la p??riode depuis le d??but du 21??me si??cle ?? la fin du 21??me si??cle. La gamme ??probable?? (selon l'??valuation d'avoir une probabilit?? sup??rieure ?? 66% du ??tre correct, l'avis des experts du GIEC) est une augmentation projet??e des de la temp??rature moyenne mondiale au cours du 21e si??cle entre 1,1 et 6,4 ?? C.
La fourchette de pr??visions de temp??rature refl??te en partie diff??rentes projections de futures ??missions de gaz ?? effet de serre. Diff??rentes projections contiennent diff??rentes hypoth??ses de d??veloppement social et ??conomique futur (par exemple, croissance ??conomique, niveau de la population, politiques ??nerg??tiques), qui ?? son tour affecte les projections des futurs gaz ?? effet de serre (GES). La gamme refl??te ??galement l'incertitude dans la r??ponse du syst??me climatique aux ??missions de GES pass??es et futures (mesur??e par le la sensibilit?? du climat).
Article 2 de la CCNUCC
La plupart des pays sont parties ?? la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Article 2 de la Convention stipule son objectif ultime, qui est de stabiliser la concentration de GES dans l'atmosph??re "?? un niveau qui emp??che toute perturbation anthropique (c.-??-humaine) perturbation dangereuse du syst??me climatique??. Le naturel, technique, et sciences sociales peuvent fournir des informations sur les d??cisions relatives ?? cet objectif, par exemple, l'ampleur possible et taux de changements climatiques futurs. Toutefois, le GIEC a ??galement conclu que la d??cision de ce que constitue une ing??rence ??dangereux?? n??cessite des jugements de valeur, qui varient entre les diff??rentes r??gions du monde. Les facteurs qui pourraient influer sur cette d??cision comprennent les cons??quences locales des impacts du changement climatique, la capacit?? d'une r??gion particuli??re ?? se adapter au changement climatique (capacit?? d'adaptation), et la capacit?? d'une r??gion ?? r??duire ses ??missions de GES (capacit?? d'att??nuation).
Objectifs


Le principal objectif du Protocole de Kyoto est de contenir les ??missions anthropiques de la principale (ce est ?? dire, l'homme ??mise) ?? effet de serre (GES) d'une mani??re qui refl??tent les diff??rences nationales sous-jacentes dans les ??missions de GES, la richesse, et la capacit?? de faire des r??ductions. Le trait?? suit les grands principes convenus dans l'original 1992 Convention-cadre des Nations Unies. Selon le trait??, en 2012, l'annexe I Parties qui ont ratifi?? le trait?? doivent s'??tre acquitt??s de leurs obligations de limitations des ??missions de gaz ?? effet de serre ??tablis pour la premi??re p??riode d'engagement du Protocole de Kyoto (2008-2012). Ces engagements de limitation des ??missions sont ??num??r??es ?? l'annexe B du Protocole.
Premiers engagements rondes du protocole de Kyoto sont la premi??re ??tape d??taill??e prises dans la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (Gupta et al., 2007). Le Protocole ??tablit une structure de mat??riel p??riodes d'engagement de r??duction des ??missions. Il a fix?? un calendrier ?? partir de 2006 pour les n??gociations visant ?? ??tablir des engagements de r??duction des ??missions pour une seconde p??riode d'engagement (voir Protocole de Kyoto # successeur pour plus de d??tails). Les premiers engagements de r??duction d'??mission p??riode expir?? le 31 D??cembre de 2012.
L'objectif ultime de la CCNUCC est de ??stabiliser les concentrations de gaz ?? effet de serre dans l'atmosph??re ?? un niveau qui emp??cherait une interf??rence anthropique dangereuse avec le syst??me climatique." M??me si les Parties Annexe I r??ussir ?? respecter leurs engagements de premi??re ronde, r??ductions beaucoup plus importantes des ??missions seront n??cessaires ?? l'avenir pour stabiliser les concentrations de GES dans l'atmosph??re.
Pour chacun des diff??rents GES anthropiques, diff??rents niveaux de r??ductions d'??missions seraient n??cessaires pour atteindre l'objectif de stabiliser les concentrations atmosph??riques (voir Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques # stabilisation des concentrations de gaz ?? effet de serre). dioxyde de carbone (CO 2) est le plus important GES d'origine anthropique. La stabilisation de la concentration de CO 2 dans l'atmosph??re serait finalement exiger l'??limination effective des ??missions anthropiques de CO 2.
Certains des principaux concepts du Protocole de Kyoto sont:
- Des engagements contraignants pour les parties I annexe. La principale caract??ristique du protocole est qu'il a ??tabli des engagements juridiquement contraignants pour r??duire les ??missions ?? effet de serre pour l'Annexe I Parties. Les engagements ont ??t?? bas??s sur le Mandat de Berlin, qui faisait partie des n??gociations de la CCNUCC qui ont pr??c??d?? le Protocole.
- Mise en ??uvre. Afin de r??pondre aux objectifs du Protocole, Annexe I Parties sont tenues d'??laborer des politiques et des mesures pour la r??duction des ??missions de gaz dans leurs pays respectifs. En outre, ils sont n??cessaires pour accro??tre l'absorption de ces gaz et d'utiliser tous les m??canismes disponibles, tels que la mise en ??uvre conjointe, le m??canisme de d??veloppement propre et l'??change d'??missions, afin d'??tre r??compens??s par des cr??dits qui permettraient plus d'??missions de gaz ?? effet de serre ?? la maison.
- Minimisant les impacts sur les pays en d??veloppement en mettant en place un fonds d'adaptation au changement climatique.
- Comptabilit??, rapports et r??vision afin d'assurer l'int??grit?? du Protocole.
- Conformit??. L'??tablissement d'un Comit?? de Conformit?? de faire respecter la conformit?? avec les engagements au titre du Protocole.
Premi??re p??riode d'engagement: 2008-2012
Dans le cadre du Protocole de Kyoto, 37 pays industrialis??s et les Communaut?? europ??enne (l' Union europ??enne -15, compos?? de 15 Etats au moment des n??gociations de Kyoto) se engager ?? des objectifs contraignants pour les ??missions de GES. Les objectifs se appliquent aux quatre serre gaz dioxyde de carbone (CO 2), m??thane (CH 4), l'oxyde nitreux (N 2 O), l'hexafluorure de soufre (SF 6), et deux groupes de gaz, les hydrofluorocarbones (HFC) et perfluorocarbures (PFC). Les six GES sont convertis en ??quivalents CO 2 dans la d??termination de la r??duction des ??missions. Ces objectifs de r??duction sont en plus des gaz industriels, chlorofluorocarbones, ou CFC, qui sont trait??es dans le cadre du 1987 Protocole de Montr??al relatif ?? des substances qui appauvrissent la couche d'ozone.
En vertu du Protocole, seuls les Parties vis??es ?? l'annexe I se sont engag??s ?? des objectifs de r??duction nationale ou conjointe (officiellement appel??s ??limitation et de r??duction des ??missions des objectifs quantifi??s" (QELRO) - Article 4.1). Parties au Protocole de Kyoto ne figurant pas ?? l'annexe I de la Convention (non-Annexe I Parties) sont pour la plupart des pays en d??veloppement ?? faible revenu, et peuvent participer au Protocole de Kyoto ?? travers le M??canisme de D??veloppement Propre (expliqu?? ci-dessous).
Les limites d'??missions de l'Annexe I Parties varie entre les diff??rentes parties. Certaines Parties ont des limitations d'??missions de r??duire au-dessous du niveau de l'ann??e de base, certains ont des limites au niveau de l'ann??e de base (ce est ?? dire, aucune augmentation permise au-dessus du niveau de l'ann??e de base), tandis que d'autres ont des limites au-dessus du niveau de l'ann??e de base.
Les limites d'??mission ne comprennent pas les ??missions de l'aviation internationale et le transport. Bien que le B??larus et la Turquie sont ??num??r??s dans l'annexe de la Convention de I, ils ne ont pas des objectifs d'??missions car ils ne ont pas l'annexe I Parties lorsque le Protocole a ??t?? adopt??. Le Kazakhstan n'a pas une cible, mais a d??clar?? qu'il souhaite devenir Partie I Annexe ?? la Convention.
Australie - 108% (2,1% des ??missions de 1990) | Finlande - 100% | Liechtenstein - 92% (0,0015%) | F??d??ration de Russie - 100% (17,4%) |
Pour la plupart des Parties, 1990 est l'ann??e de base pour l'inventaire national des GES et le calcul de la quantit?? attribu??e. Cependant, cinq Parties ont une ann??e de base alternatif:
- Bulgarie: 1988;
- Hongrie: la moyenne des ann??es 1985-1987;
- Pologne: 1988;
- Roumanie: 1989;
- Slov??nie: 1986.
Annexe I Parties peuvent utiliser un ??ventail de m??canismes sophistiqu??s de ??flexibilit???? (voir ci-dessous) pour atteindre leurs objectifs. Annexe I Parties peuvent atteindre leurs objectifs par l'attribution de quotas annuels r??duits ?? grands op??rateurs au sein de leurs fronti??res, ou en permettant ?? ces op??rateurs de d??passer leurs allocations en compensant tout exc??s par un m??canisme qui est convenu par toutes les parties ?? la CCNUCC, comme en achetant quotas d'??mission aupr??s d'autres op??rateurs qui ont exc??dents de cr??dits d'??missions.
Des m??canismes souples
Le protocole d??finit trois " m??canismes de flexibilit?? ??qui peuvent ??tre utilis??s par les Parties ?? l'Annexe I ?? remplir leurs engagements chiffr??s de limitation des ??missions. Les m??canismes de flexibilit?? sont International Trading Emissions (IET), le M??canisme de d??veloppement propre (MDP), et Mise en ??uvre conjointe (MOC). IET permet Parties de l'Annexe I ?? "Commerce" de leurs ??missions ( Unit??s de quantit?? attribu??e, UQA, ou ??quotas?? pour faire court).
La base ??conomique pour fournir cette flexibilit?? est que le le co??t marginal de la r??duction (ou de r??duire) les ??missions diff??re selon les pays. ??Co??t marginal?? est le co??t de la r??duction de la derni??re tonne de CO 2 -??q pour une I / non-annexe I Parti annexe. Au moment de les objectifs de Kyoto d'origine, des ??tudes ont sugg??r?? que les m??canismes de flexibilit?? pourraient r??duire le g??n??ral ( global) co??t de la r??alisation des objectifs. Des ??tudes ont ??galement montr?? que les pertes nationales de l'annexe I du produit int??rieur brut (PIB) pourraient ??tre r??duites par l'utilisation des m??canismes de flexibilit??.
Le MDP et la MOC sont appel??s ??m??canismes de projet," en ce qu'ils g??n??rent des r??ductions d'??missions des projets. La diff??rence entre l'IET et les m??canismes de projet est que IET est bas??e sur le r??glage d'une restriction quantitative des ??missions, tandis que le MDP et la MOC sont fond??es sur l'id??e de la ??production?? des r??ductions d'??missions. Le MDP est con??u pour encourager la production de r??ductions d'??missions dans non-vis??es ?? l'Annexe I Parties, tandis que JI encourage la production des r??ductions d'??missions ?? l'annexe I Parties.
La production de r??ductions d'??missions g??n??r??es par le MDP et la MOC peut ??tre utilis?? par l'annexe I Parties ?? respecter leurs engagements de limitation des ??missions. Les r??ductions d'??missions produites par le MDP et la MOC sont mesur??es ?? la fois contre une hypoth??tique base des ??missions qui auraient eu lieu en l'absence d'un projet particulier de r??duction des ??missions. Les r??ductions d'??missions produites par le MDP sont appel??s R??ductions d'??missions certifi??es (REC); r??ductions produites par JI sont appel??s Unit??s de r??duction des ??missions (URE). Les r??ductions sont appel??s " cr??dits "parce qu'ils sont des r??ductions d'??missions cr??dit??s contre une base hypoth??tique des ??missions.
Chaque pays de l'annexe I est tenu de pr??senter un rapport annuel des inventaires de toutes les ??missions de gaz ?? effet de serre anthropiques provenant de sources et absorptions par les puits au titre de la CCNUCC et du Protocole de Kyoto. Ces pays d??signent une personne (appel??e ??autorit?? nationale d??sign??e") afin de cr??er et de g??rer son inventaire des gaz ?? effet de serre. Pratiquement tous les pays non-Annexe I ont ??galement ??tabli une autorit?? nationale d??sign??e pour g??rer leurs obligations de Kyoto, en particulier le "processus de MDP". Ce qui d??termine GES projets qu'ils souhaitent proposer pour l'accr??ditation par le Conseil ex??cutif du MDP.
International Emissions trading
Un certain nombre de syst??mes d'??change d'??missions (ETS) ont ??t??, ou sont pr??vues pour ??tre mis en ??uvre.
Asie
- Japon: ??change de droits d'??missions ?? Tokyo a commenc?? en 2010. Ce programme est g??r?? par la Gouvernement M??tropolitain de Tokyo.
Europe
- Union europ??enne : la Union europ??enne syst??me d'??change d'??missions (SCEQE), qui a commenc?? en 2005. Ce est g??r?? par la Commission Europ??enne.
- Norv??ge : le commerce des ??missions domestiques en Norv??ge a commenc?? en 2005. Cela a ??t?? g??r?? par le gouvernement norv??gien, qui est maintenant un participant dans le SCEQE.
- Suisse : l'ETS suisse, qui se ??tend de 2008 ?? 2012, pour co??ncider avec la premi??re p??riode d'engagement du Protocole de Kyoto.
- Royaume-Uni:
- la UK Emissions Trading Scheme, qui se est d??roul??e de 2002 ?? 06. Ce ??tait un r??gime g??r?? par le gouvernement britannique, qui est maintenant un participant dans le SCEQE.
- La Grande Bretagne CRC Energy Efficiency Scheme, qui a commenc?? en 2010, et est g??r?? par le gouvernement britannique.
Am??rique Du Nord
- ??change de droits d'??missions: Canada Alberta, Canada, qui a commenc?? en 2007. Ce est g??r?? par la Gouvernement de l'Alberta.
- ??tats Unis:
- la Initiative r??gionale de gaz ?? effet de serre (RGGI), qui a commenc?? en 2009. Ce r??gime plafonne les ??missions de la production d'??lectricit?? dans dix ??tats am??ricains du nord-est (Connecticut, Delaware, Maine, Maryland, Massachusetts, New Hampshire, New Jersey, New York, Rhode Island et Vermont).
- ??change de droits d'??missions en Californie, qui est pr??vue ?? partir de 2012.
- la Western Climate Initiative (WCI), qui est pr??vue ?? partir de 2012. Ce est un ETS collective convenue entre 11 ??tats am??ricains et Provinces canadiennes.
Oc??anie
- Australie: la New South Wales de r??duction des gaz ?? effet de serre Scheme (NSW), qui a commenc?? en 2003. Ce r??gime est g??r?? par l'Australien ??tat de Nouvelle-Galles du Sud, et a maintenant rejoint l'Alfa stabilisation climatique (ACS).
- Nouvelle-Z??lande: le Nouvelle-Z??lande Emissions Trading Scheme, qui a commenc?? en 2008.
??missions de n??gociation intergouvernementales
La conception de la ??missions de l'Union europ??enne d'??change de quotas (EU ETS) permet implicitement pour le commerce des obligations nationales de Kyoto de se produire entre les pays participants (Carbon Trust, 2009, p. 24). Carbon Trust (2009, pp. 24-25) a constat?? que d'autres que l'??change qui se produit dans le cadre du SCEQE, aucun ??change de droits d'??missions intergouvernementales avait eu lieu.
Un des probl??mes environnementaux avec IET est l'important surplus de quotas qui sont disponibles. La Russie, l'Ukraine et les nouveaux Etats membres de l'UE-12 (l'annexe I du Protocole de Kyoto Parties ??conomies en transition, en abr??g?? "EIT": B??larus, Bulgarie, Croatie, R??publique tch??que, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, la Russie, la Slovaquie, la Slov??nie et l'Ukraine) ont un exc??dent de quotas, alors que beaucoup Pays de l'OCDE ont un d??ficit. Certains des pays en transition avec un exc??dent consid??rent comme compensation de potentiel pour le traumatisme de leur restructuration ??conomique. Lorsque le trait?? de Kyoto a ??t?? n??goci??, il a ??t?? reconnu que les objectifs d'??missions pour les pays en transition pourraient les amener ?? avoir un nombre excessif de quotas. Cet exc??s de quotas ??taient consid??r??s par les pays en transition comme ??marge?? pour d??velopper leurs ??conomies. L'exc??dent a toutefois ??galement ??t?? d??sign?? par certains comme "l'air chaud", un terme dont la Russie (un pays avec un exc??dent estim?? ?? 3,1 milliards de tonnes de dioxyde de carbone d??ductions ??quivalentes) vues comme ??tr??s choquant."
Pays de l'OCDE avec un d??ficit pourraient respecter leurs engagements de Kyoto en achetant des quotas des pays en transition avec un exc??dent. Sauf si d'autres engagements ont ??t?? pris pour r??duire l'exc??dent total des allocations, ce commerce ne serait pas effectivement entra??ner des ??missions ??tant r??duits (voir ??galement la section ci-dessous sur le Green Scheme investissement ).
Vert Investment Scheme
Un r??gime d'investissement vert (SIG) se r??f??re ?? un plan pour atteindre les avantages environnementaux de quotas exc??dentaires de n??gociation (UQA) dans le cadre du Protocole de Kyoto. Le Green Scheme investissement (SIG), un m??canisme dans le cadre des ??missions International Trading (IET), est con??u pour atteindre une plus grande souplesse dans l'atteinte des objectifs du Protocole de Kyoto, tout en pr??servant l'int??grit?? de l'environnement, de l'IET. Toutefois, en utilisant le SIG ne est pas n??cessaire dans le cadre du Protocole de Kyoto, et il n'y a pas de d??finition officielle du terme.
Dans le cadre du SIG une Partie au Protocole attendant ?? ce que le d??veloppement de son ??conomie ne sera pas ??puiser son quota de Kyoto, peut vendre l'exc??dent de ses unit??s de quotas de Kyoto (UQA) de ?? une autre Partie. Les profits de la vente de l'AUA devraient ??tre "verdir", ce est ?? dire canalis??s vers le d??veloppement et la mise en ??uvre des projets, soit l'acquisition de r??ductions d'??missions de GES (d'??cologisation dur) ou de la constitution le cadre n??cessaire ?? ce processus (??cologisation douce).
Commerce des UQA
La Lettonie a ??t?? l'un des avant-coureurs de SIG. Banque mondiale (2011) a signal?? que la Lettonie a cess?? d'offrir des ventes en raison de prix bas de l'AUA de l'AUA. En 2010, l'Estonie a ??t?? la source pr??f??r??e pour les acheteurs de l'AUA, suivie par la R??publique tch??que et la Pologne.
Politique nationale du Japon pour atteindre leur objectif de Kyoto comprend l'achat d'UQA vendus sous SIG. En 2010, le Japon et les entreprises japonaises ont ??t?? les principaux acheteurs d'UQA. En termes de march?? international du carbone, le commerce des UQA sont une petite proportion de la valeur globale du march??. En 2010, 97% du commerce dans le march?? international du carbone a ??t?? entra??n?? par le Syst??me d'??change d'??missions de l'Union europ??enne (EU ETS). Toutefois, les entreprises r??glement??es par le SCEQE sont incapables d'utiliser UQA ?? respecter leurs plafonds d'??missions.
M??canisme de d??veloppement propre
Entre 2001, qui ??tait la premi??re ann??e M??canisme de D??veloppement Propre (MDP) pourraient ??tre enregistr??s, et 2012, la fin de la premi??re p??riode d'engagement de Kyoto, le MDP devrait produire environ 1,5 milliards de tonnes de dioxyde de carbone ??quivalent (CO 2 e) des r??ductions d'??missions. La plupart de ces r??ductions sont par la commercialisation de l'??nergie renouvelable, l'efficacit?? ??nerg??tique, et la commutation de carburant (Banque mondiale, 2010, p. 262). En 2012, le plus grand potentiel pour la production d'URCE sont estim??s en Chine (52% du nombre total de RCE) et l'Inde (16%). URCE produites en Am??rique latine et dans les Cara??bes repr??sentent 15% du potentiel total, avec le Br??sil comme le plus grand producteur de la r??gion (7%).
Mise en ??uvre conjointe
La p??riode de comptabilisation officielle de Mise en ??uvre conjointe (MOC) a ??t?? align?? avec la premi??re p??riode d'engagement du Protocole de Kyoto, et n'a pas commenc?? avant Janvier 2008 (Carbon Trust, 2009, p. 20). En Novembre 2008, seulement 22 projets MOC avaient ??t?? officiellement approuv??s et enregistr??s. Le montant total pr??vu r??ductions d'??missions dues par JI 2012 sont sur le dixi??me celle du MDP. La Russie repr??sente environ les deux tiers de ces ??conomies, le reste r??parti ?? peu pr??s ??galement entre l'Ukraine et les nouveaux ??tats membres de l'UE. Les r??ductions d'??missions comprennent des coupes dans le m??thane, HFC, et ??missions de N 2 O.
La stabilisation des concentrations de GES
Comme indiqu?? plus t??t , les engagements de Kyoto de limitation des ??missions de premi??re ronde ne sont pas suffisantes pour stabiliser la concentration atmosph??rique de GES. La stabilisation des concentrations de GES dans l'atmosph??re, il faudra de nouvelles r??ductions des ??missions apr??s la fin de la p??riode d'engagement de Kyoto de premi??re ronde en 2012.
Fond


Les analystes ont mis au point sc??narios de changements futurs dans les ??missions de GES qui conduisent ?? une stabilisation des concentrations atmosph??riques de GES. Les mod??les climatiques sugg??rent que les niveaux de stabilisation inf??rieurs sont associ??s avec des magnitudes inf??rieures de r??chauffement plan??taire, tandis que les niveaux de stabilisation plus ??lev??s sont associ??s avec des magnitudes sup??rieures de r??chauffement plan??taire (voir figure ci-contre).
Pour parvenir ?? une stabilisation, les ??missions mondiales de GES doivent culminer, puis du d??clin. Plus le niveau de stabilisation souhait??, plus t??t ce pic et le d??clin doivent avoir lieu (voir figure ci-contre). Pour un niveau de stabilisation donn??, des r??ductions plus importantes des ??missions ?? court terme permettent de moins strictes r??ductions d'??missions plus tard. D'autre part, moins strictes pr??s de r??ductions d'??missions ?? long terme seraient, pour un niveau de stabilisation donn??, exiger plus strictes r??ductions d'??missions plus tard.
La premi??re p??riode de Kyoto limitations d'??missions peuvent ??tre consid??r??s comme une premi??re ??tape vers la r??alisation de la stabilisation atmosph??rique de GES. En ce sens, les engagements premi??re p??riode de Kyoto peuvent affecter quel avenir niveau de stabilisation atmosph??rique peut ??tre atteint.
Rapport aux objectifs de temp??rature
Au 16e Conf??rence des Parties, tenue en 2010, les Parties ?? la CCNUCC a convenu que l'avenir r??chauffement de la plan??te devrait ??tre limit?? en dessous de 2 ?? C par rapport au niveau de temp??rature pr??-industrielle. Un des niveaux de stabilisation discut??s par rapport ?? cet objectif de temp??rature est de tenir les concentrations atmosph??riques de GES ?? 450 parties par million (ppm) de CO 2 - ??q. Stabilisation ?? 450 ppm pourrait ??tre associ??e ?? un risque de d??passement de la cible de 2 ?? C de 26 ?? 78% de.
Sc??narios ??valu??s par Gupta et al. (2007) sugg??rent que les ??missions de l'Annexe I auraient besoin d'??tre 25% ?? 40% en dessous des niveaux de 1990 d'ici 2020, et 80% ?? 95% en dessous des niveaux de 1990 d'ici 2050. Le seul Parties de l'Annexe I avoir fait engagements volontaires en ligne avec ce sont le Japon (25% en dessous des niveaux de 1990 d'ici 2020) et la Norv??ge (30-40% en dessous des niveaux de 1990 d'ici 2020).
Gupta et al. (2007) ont ??galement regard?? ce que 450 ppm sc??narios pr??vus pour non-Annexe I Parties. Projections indiqu?? que d'ici 2020, les ??missions non vis??es ?? l'annexe I dans plusieurs r??gions ( Am??rique latine , le Moyen-Orient , Asie de l'Est, et de la planification centralis??e Asie ) devraient ??tre sensiblement r??duites ci-dessous ??Business-as-usual??. "Business as usual" sont projet??es ??missions non vis??es ?? l'annexe I en l'absence de toute nouvelle politique de contr??le des ??missions. Projections indiqu?? que d'ici 2050, les ??missions dans tous les non-annexe I r??gions devraient ??tre consid??rablement r??duit en dessous de "business-as-usual??.
D??tails de l'accord
L'accord est un protocole ?? la Nations Unies Convention-cadre sur les changements climatiques (CCNUCC) adopt?? lors de la Sommet de la Terre ?? Rio de Janeiro en 1992, qui n'a pas mis des limites juridiquement contraignantes sur les ??missions ou des m??canismes d'application. Seules les Parties ?? la CCNUCC peuvent devenir Parties au Protocole de Kyoto. Le Protocole de Kyoto a ??t?? adopt?? ?? la troisi??me session de la Conf??rence des Parties ?? la CCNUCC (COP 3) en 1997 ?? Kyoto, au Japon.
Objectifs nationaux d'??missions sp??cifi??es dans le Protocole de Kyoto excluent l'aviation internationale et le transport. Parties de Kyoto peuvent utiliser l'utilisation des terres, l'utilisation des terres et la foresterie (LULUCF) ?? atteindre leurs objectifs. Activit??s LULUCF sont aussi appel??s activit??s de "puits". Changements dans les ??viers et l'utilisation des terres peuvent avoir un effet sur le climat. Crit??res particuliers se appliquent ?? la d??finition de la foresterie dans le cadre du Protocole de Kyoto.
La gestion des for??ts, des terres cultiv??es de gestion, la gestion des p??turages, et rev??g??talisation sont toutes les activit??s UTCATF admissibles en vertu du Protocole. Annexe I Parties utilise de la gestion foresti??re ?? atteindre leurs objectifs est plafonn??e.
N??gociations
Article 4.2 de la CCNUCC engage les pays industrialis??s ?? ??[prendre] la t??te" pour r??duire les ??missions. L'objectif initial ??tait pour les pays industrialis??s ?? stabiliser leurs ??missions aux niveaux de 1990 d'ici l'an 2000. L'??chec des pays industrialis??s cl??s pour avancer dans cette direction ??tait une raison principale pour laquelle d??plac?? ?? Kyoto des engagements contraignants.
Lors de la premi??re Conf??rence des Parties de la CCNUCC ?? Berlin, le G77 ??tait en mesure de pousser pour un mandat (le ??mandat de Berlin??) o?? il a ??t?? reconnu que:
- les pays d??velopp??s ont le plus contribu?? aux concentrations alors en vigueur de GES dans l'atmosph??re (voir gaz ?? effet de serre # cumulatifs et les ??missions historiques ).
- les pays en d??veloppement les ??missions par habitant (ce est ?? dire, les ??missions moyennes par t??te de la population) ??taient encore relativement faibles.
- et que la part des ??missions mondiales des pays en d??veloppement augmenterait pour r??pondre ?? leurs besoins de d??veloppement.
Au cours des n??gociations, le G-77 repr??sentait 133 pays en d??veloppement. La Chine ne ??tait pas un membre du groupe, mais un associ??. Il est depuis devenu un membre.
Le mandat de Berlin a ??t?? reconnu dans le Protocole de Kyoto en ce que les pays en d??veloppement ne ??taient pas soumis ?? des engagements de r??duction des ??missions dans la premi??re p??riode d'engagement de Kyoto. Cependant, le grand potentiel de croissance dans les ??missions des pays fait n??gociations sur cette question tendue. Dans l'accord final, le M??canisme de d??veloppement propre a ??t?? con??u pour limiter les ??missions dans les pays en d??veloppement, mais de telle mani??re que les pays en d??veloppement ne supportent pas les co??ts pour limiter les ??missions. L'hypoth??se g??n??rale est que les pays en d??veloppement seraient confront??s ?? des engagements quantitatifs dans les p??riodes d'engagement ult??rieures, et dans le m??me temps, les pays d??velopp??s de r??pondre ?? leurs premiers engagements rondes.
??missions coupes
Vues sur le Protocole de Kyoto # commentaires sur les n??gociations contient une liste des r??ductions d'??missions qui ont ??t?? propos??s par les Parties ?? la CCNUCC au cours des n??gociations. Le G77 et la Chine ??taient en faveur de fortes r??ductions d'??missions uniforme dans l'ensemble du monde d??velopp??. Les États-Unis initialement proposé pour le second tour des négociations sur les engagements de Kyoto à suivre les négociations de la première. En fin de compte, les négociations sur la deuxième période ont été mis à ouvrir plus tard en 2005. Les pays plus performants dans leurs premiers engagements de période peut «banque» de leurs quotas inutilisés pour une utilisation dans la période suivante.
L'UE d'abord fait valoir que trois GES à inclure - CO 2 , CH 4 et N 2 O - avec d'autres gaz tels que les HFC réglementés séparément. L'UE a également voulu avoir un engagement «bulle», par laquelle il pourrait prendre un engagement collectif qui a permis à certains membres de l'UE d'augmenter leurs émissions, tandis que d'autres leur coupent.
Les nations les plus vuln??rables - la Alliance des petits États insulaires (AOSIS) - a poussé pour des coupures profondes uniformes par les pays développés, avec l'objectif d'avoir des émissions réduites dans la mesure du possible. Les pays qui avaient soutenu la différenciation des objectifs avaient des idées différentes sur la façon dont il devrait être calculé, et de nombreux indicateurs différents ont été proposés. Deux exemples comprennent la différenciation des objectifs basés sur produit intérieur brut (PIB), et la différenciation basée sur l'intensité énergétique (consommation d'énergie par unité de production économique).
Les objectifs finaux négociés dans le Protocole sont le résultat de la dernière minute de compromis politiques. Les objectifs correspondent étroitement à celles décidées par argentin Raul Estrada, le diplomate qui a présidé les négociations. Les numéros attribués à chaque Partie par le président Estrada étaient fondées sur des cibles déjà annoncées par les Parties, les informations reçues sur les dernières positions de négociation, et l'objectif d'atteindre le résultat le plus fort possible sur l'environnement. Les objectifs finaux sont plus faibles que celles proposées par certaines Parties, par exemple, l' Alliance des petits États insulaires et le G-77 et la Chine, mais plus forte que les objectifs proposés par d'autres, par exemple, le Canada et les États-Unis.
Les engagements financiers
Le Protocole réaffirme également le principe que les pays développés doivent payer des milliards de dollars, et la technologie d'alimentation à d'autres pays pour des études et des projets liés au climat. Le principe a été convenu dans CCNUCC. un tel projet est Le Fonds d'adaptation "", qui a été établi par les Parties au Protocole de Kyoto de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques à financer des projets et programmes concrets d'adaptation dans les pays en développement qui sont Parties à la Protocole De Kyoto.
Dispositions de mise en oeuvre
Le protocole a laissé plusieurs questions ouvertes à décider plus tard par la sixième Conférence des Partiesde la CCNUCC COP6, qui a tenté de résoudre ces questions lors de sa réunion àLa Hayeà la fin de 2000, mais il a été incapable de parvenir à un accord en raison de différends entre le Union européenne (qui est favorable à une mise en ??uvre plus difficile) et les États-Unis, le Canada, le Japon et l'Australie (qui voulait que l'accord soit moins exigeante et plus souple).
En 2001, une continuation de la réunion précédente (COP6bis) a eu lieu à Bonn, où les décisions nécessaires ont été adoptées. Après quelques concessions, les partisans du protocole (dirigée par l' Union européenne ) a réussi à obtenir l'accord du Japon et de la Russie en laissant plus de l'utilisation de puits de dioxyde de carbone.
COP7 a eu lieu du 29 Octobre 2001 à 9 Novembre 2001 àMarrakech pour établir les derniers détails du protocole.
La première Réunion des Parties au Protocole de Kyoto (MOP1) a eu lieu àMontréaldu 28 Novembre to 9 Décembre 2005, avec la 11e conférence des parties à la CCNUCC (COP11). Voir Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques.
Au cours de la COP13 à Bali 36 développés CG pays (plus l'UE comme un parti dans la Union européenne ) ont convenu d'un 10% les émissions augmentent pour l'Islande ; mais, étant donné que les Etats membres de l'UE ont chacun obligations individuels, augmentations beaucoup plus importantes (jusqu'à 27%) sont autorisés pour certains des pays les moins développés de l'UE (voir ci-dessous Protocole de Kyoto # Augmentation des émissions de gaz à effet de serre depuis 1990 ). limitations de réduction expirent en 2013.
Mécanisme de conformité
Le protocole définit un mécanisme de «respect» comme un «contrôle de la conformité avec les engagements et les pénalités pour non-conformité." Selon Grubb (2003), les conséquences explicites de non-respect du traité sont faibles par rapport à la législation nationale. Pourtant, la section de la conformité du traité a été fortement contestée dans les Accords de Marrakech.
Mise en application
Si la branche d'application détermine qu'un pays annexe I ne sont pas en conformité avec sa limitation des émissions, alors ce pays est nécessaire pour combler la différence au cours de la deuxième période d'engagement, plus un supplément de 30%. En outre, ce pays sera suspendu de faire des transferts en vertu d'un programme d'échange de droits d'émissions.
Le processus de ratification
Le Protocole a ??t?? adopt?? par COP 3 de la CCNUCC le 11 Décembre 1997 à Kyoto, au Japon. Il a été ouvert le 16 Mars 1998 pour la signature au cours d'une année par les Parties à la CCNUCC, quand il a été signé Antigua-et-Barbuda, Argentine, les Maldives, Samoa, Sainte-Lucie et la Suisse. À la fin de la période de signature, 82 pays et la Communauté européenne avaient signé. Ratification (qui est nécessaire pour devenir partie au Protocole) a commencé le 17 Septembre avec la ratification de Fidji. Les pays qui n'a pas signé adhéré à la Convention, qui a le même effet juridique.
Article 25 du Protocole précise que le Protocole entre en vigueur «le dixième jour après la date à laquelle au moins 55 Parties à la Convention, les Parties incorporant inclus dansl'annexe I qui représentait au total pour au moins 55% de la quantité totale de carbone les émissions de dioxyde de 1990 despays de l'Annexe I, ont déposé leurs instruments de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion ».
L'UE et ses États membres ont ratifié le protocole en mai 2002. Sur les deux conditions, la clause "de 55 partis" a été atteint le 23 mai 2002, lorsque l'Islande a ratifié le Protocole. La ratification par la Russie le 18 Novembre 2004 satisfait la clause "de 55%" et a apporté le traité en vigueur, à compter du 16 Février 2005, au bout de 90 jours requis.
Le 3 Décembre 2007, l'Australie a ratifié le protocole au cours du premier jour de la COP13 à Bali.
En Février 2012,190 pays et une organisation économique régionale (laCE) ont ratifié l'accord, qui représente plus de 61,6% des émissions de 1990 depays de l'Annexe I.
La position des États-Unis
Les États-Unis ont signé le protocole, mais ne l'ont pas ratifié. Avant le Protocole a été convenu, le Sénat américain a adopté la résolution Byrd-Hagel empêchant l'unanimité la ratification d'un accord international qui 1) ne pas exiger des pays en développement à faire des réductions d'émissions et 2) "nuirait gravement à l'économie des États-Unis". Par conséquent, même si l' administration Clinton a signé le traité, il ne restait plus un acte symbolique et n'a jamais été soumis au Sénat pour ratification.
Lorsque George W. Bush a été élu président des États-Unis en 2000, il a été demandé par le sénateur américain Hagel ce que la position de son administration était sur ??????le changement climatique. Bush a répondu qu'il a pris le changement climatique "très au sérieux", mais qu'il était opposé au traité de Kyoto, car «il exonère 80% du monde, y compris les grands centres de population comme la Chine et l'Inde, de la conformité, et causerait un préjudice grave à la économie américaine ". Presque tous les dirigeants du monde (par exemple, la Chine, le Japon, l'Afrique du Sud, les îles du Pacifique) ont exprimé leur déception face à la décision du président Bush de ne pas soutenir le traité.
Les États-Unis ont représenté 36% des émissions en 1990, et sans la ratification américaine, seulement une petite coalition de partis Russie + Japon + UE + pourrions placer le traité en effet juridique. Un accord a été conclu dans les négociations sur le climat de Bonn (COP-6.5), tenue en 2001.
Retrait du Canada
En 2011, le Canada, le Japon et la Russie ont déclaré qu'ils ne prendraient pas sur d'autres objectifs de Kyoto. Le gouvernement canadien a annoncé son -possible de retrait à tout moment trois ans après ratification-du Protocole de Kyoto, le 12 Décembre 2011, à compter du 15 Décembre 2012. Le Canada a été engagée à réduire ses émissions à effet de serre à 6% sous les niveaux de 1990 d'ici 2012, mais en 2009 les émissions étaient de 17% plus élevé qu'en 1990. ministre de l'Environnement Peter Kent a cité la responsabilité du Canada à «pénalités financières énormes" en vertu du traité à moins qu'il ne se retire. Il a également suggéré que l'a récemment signé un accord de Durban peut fournir une voie alternative vers l'avant. La décision du Canada a reçu une réponse mitigée des représentants d'autres pays qui ont ratifié.
D'autres Etats et territoires où le traité ne serait pas applicable
États-Unis et (depuis le 15 Décembre 2012) au Canada sont les seules parties de la CCNUCC qui ne sont pas partie à la Convention. Le Protocole est en outre pas appliquée à la CCNUCC-observateurs Andorre et le Saint-Siège et membre de l'ONU au Soudan du Sud (qui peut devenir partie après avoir adhéré à la CCNUCC). Bien que le Royaume des Pays-Bas a approuvé le protocole pour l'ensemble du Royaume, il n'a pas déposé une instrument de ratification pour Aruba, Curaçao, Sint Maarten ou le Pays-Bas Caraïbes. Le Royaume-Uni n'a pas l'étendue de sa ratification à Anguilla, îles Vierges britanniques, Montserrat, Pitcairn, Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, îles Turques et Caïques ou les zones de souveraineté d'Akrotiri et de Dhekelia, tandis que le Danemark exclu demande au Féroé Îles
L'action du gouvernement et des émissions
Annexe I pays


Le total des émissions globales de GES excluant les émissions / absorptions provenant de l'utilisation des terres, changement d'affectation des terres et la foresterie (UTCATF, à savoir, le stockage de carbone dans les forêts et les sols) pour tous les Parties de l'Annexe I (voir liste ci-dessous), y compris les États-Unis pris ensemble a diminué de 19,0 à 17,8 mille teragrammes (Tg, qui est égal à 10 9 kg) de CO 2 équivalente, soit une baisse de 6,0% au cours de la période 1990-2008. Plusieurs facteurs ont contribué à cette baisse. La première est due à la restructuration économique dans l'annexe I de l 'économie en transition (les pays en transition - voir Émissions intergouvernemental de négociation pour la liste des pays en transition). Au cours de la période 1990-1999, les émissions ont baissé de 40% dans les pays en transition économique après l'effondrement de la planification centralisée dans les anciens de l'Union soviétique et Europe de l'Est pays. Cela a conduit à une contraction massive de leurs économies à base de l'industrie lourde, avec des réductions associées à leur consommation et les émissions de combustibles fossiles.
La croissance des émissions dans l'Annexe I Parties ont également été limitée en raison de politiques et mesures (PAMS). En particulier, PAMS ont été renforcés après 2000, en aidant à améliorer l'efficacité énergétique et développer des sources d'énergie renouvelables. La consommation d'énergie a également diminué au cours de la crise économique en 2007-2008.
Projections
CCNUCC (2011) a fait des projections de changements dans les émissions de l'Annexe I Parties et l'efficacité de leurs Pams. Il a été noté que leurs projections doivent être interprétées avec prudence. Pour les 39 Parties Annexe I de la CCNUCC (2011) prévoit que Pams existantes peuvent entraîner à des émissions annuelles en 2010 de 17 500 Tg CO 2 eq, hors secteur UTCATF, qui est une diminution de 6,7% par rapport au niveau de 1990. Les émissions annuelles en 2020 hors secteur UTCATF ont été projetés pour atteindre 18 900 Tg CO 2 eq, ce qui est une augmentation de 0,6% sur le niveau de 1990.
CCNUCC (2011) a fait une estimation de l'effet total de Pams mises en ??uvre et adoptées. Les économies prévues ont été estimées par rapport à un scénario de référence (ligne de base) où Pams ne sont pas mises en ??uvre. PAMS ont été projetés à réaliser des économies d'émissions par rapport à la ligne de base d'environ 1500 Tg CO 2 eq d'ici 2010, et de 2800 Tg CO 2 eq en 2020. En termes de pourcentage, et en utilisant les émissions annuelles de l'année 1990 comme point de référence, PAMS ont été projetés à délivrer au moins une réduction relative de 5,0% au niveau de référence d'ici 2010, et une réduction de 10,0% par rapport au scénario de référence en 2020. Les scénarios examinés par la CCNUCC (2011) encore suggéré que l'annexe I total des émissions annuelles augmenterait jusqu'en 2020 (voir le paragraphe précédent) .
Annexe I Parties avec des objectifs
Pays / R??gion | Kyoto cible 2008-2012 | Kyoto cible 2013-2020 | GES émissions 1990-2008 y compris UTCATF | GES émissions 1990-2008 exclusion UTCATF | CO 2 les émissions dues aux combustibles combustion seulement 1990-2009 |
---|---|---|---|---|---|
Am??rique Du Nord | - | - | - | - | 20,4 |
Canada | -6 | - | 33,6 | 24,1 | 20,4 |
Europe | -4,9 | ||||
Union Europ??enne | -8 | -20 | |||
Autriche | -13 | -20 | 6,6 | 10,8 | 12,2 |
Belgique | -7.5 | -20 | -6.2 | -7,1 | -6.7 |
Danemark | -21 | -20 | -6.8 | -6.8 | -7.2 |
Finlande | 0 | -20 | -35,9 | -0,2 | 1,1 |
France | 0 | -20 | -12.7 | -5,9 | 0,6 |
Allemagne | -21 | -20 | -17.6 | -21.4 | -21,1 |
Gr??ce | 25 | -20 | 22,9 | 23,1 | 28,6 |
Islande | 10 | -20 | 19,2 | 42,9 | 6,2 |
Irlande | 13 | -20 | 19,9 | 23,2 | 32,4 |
Italie | -6.5 | -20 | 0,4 | 4,7 | -2,0 |
Luxembourg | -28 | -20 | -9.2 | -4,8 | -4.4 |
Pays-Bas | -6 | -20 | -2,4 | -2,4 | 13,0 |
Norv??ge | 1 | -16 | -32,8 | 9,4 | 31,9 |
Portugal | 27 | -20 | 18,3 | 32,2 | 35,3 |
Espagne | 15 | -20 | 44,0 | 42,5 | 37,7 |
Su??de | 4 | -20 | 19,8 | -11,3 | -20.9 |
Suisse | -8 | -15.8 | 6,8 | 0,4 | 2,5 |
Royaume-Uni | -12.5 | -20 | -19,0 | -18,5 | -15,2 |
Asie Océanie | - | - | - | 12,7 | |
Australie | 8 | -0,5 | 33,1 | 31,4 | 51,8 |
Japon | -6 | - | -0,2 | 1,0 | 2,7 |
Nouvelle Z??lande | 0 | - | 62,4 | 22,7 | 34,3 |
Les économies en Transition | - | - | - | -36.2 | |
Bulgarie | -8 | -20 | -45,5 | -42,8 | -43.7 |
Croatie | -5 | -20 | -13.7 | -0,9 | -8.4 |
R??publique Tch??que | -8 | -20 | -28.7 | -27.5 | -29.2 |
Estonie | -8 | -20 | -69,9 | -50,9 | -59,4 |
Hongrie | -8 | -20 | -38,1 | -36.2 | -27,8 |
Lettonie | -8 | -20 | -307,9 | -55,6 | -63,8 |
Lituanie | -8 | -20 | -69,1 | -51,8 | -62,6 |
Pologne | -6 | -20 | -34.4 | -29,6 | -16,2 |
Roumanie | -8 | -20 | -53,5 | -45,9 | -53,1 |
Russe F??d??ration | 0 | - | -52,8 | -32,8 | -29,7 |
Slovaque R??publique | -8 | -20 | -34.4 | -33,7 | -41,5 |
Slov??nie | -8 | -20 | 5,2 | 5,2 | 21,2 |
Ukraine | 0 | -24 | -52,2 | -53,9 | -62,7 |
Les données figurant dans le tableau ci-dessus peuvent ne pas être entièrement réfléchissante du progrès d'un pays en vue d'atteindre son premier tour la cible de Kyoto. Le résumé ci-dessous contient plus à jour des informations sur la façon dont les pays sont près d'atteindre leurs objectifs en première ronde.


Collectivement le groupe des pays industrialisés se sont engagés à un objectif de Kyoto, à savoir, le pays de l'Annexe I à l'exclusion des Etats-Unis, ont un objectif de réduction de leurs émissions de GES de 4,2% en moyenne pour la période 2008-2012 par rapport à l'année de base, ce qui dans la plupart cas est 1990. Selon Olivier et al. (2011), les Parties de Kyoto seront confortablement dépasser leur objectif collectif, avec une réduction moyenne de 16% prévue pour la période 2008-2012. Cette projection exclut à la fois l'UTCATF et les crédits générés par le Mécanisme de Développement Propre (MDP).
Comme indiqué dans la section précédente, entre 1990-1999, il y avait une grande réduction des émissions des pays en transition. La réduction dans les pays en transition est en grande partie responsable de la totale (globale) de réduction (hors LULUCF) des émissions du pays de l'Annexe I, à l'exclusion des Etats-Unis. Les émissions des pays de l'Annexe II (annexe I, moins les pays en transition) ont connu une augmentation limitée des émissions de 1990 à 2006, suivie d'une stabilisation et une diminution plus marquée à partir de 2007. Les réductions d'émissions dans les début des années nonante par les 12 pays en transition qui ont depuis rejoint l'UE, d'aider la présente UE-27 à atteindre son objectif collectif de Kyoto.
Presque tous les pays européens sont sur ??????la bonne voie pour atteindre leurs objectifs de Kyoto du premier tour. L'Espagne prévoit d'atteindre son objectif par l'achat d'une grande quantité d'unités de Kyoto à travers les mécanismes de flexibilité. Australie, le Canada (Canada se sont retirés du traité de Kyoto en 2012), et l'Italie ne sont pas en voie d'atteindre leurs objectifs de Kyoto du premier tour. Pour atteindre leurs objectifs, ces pays auraient besoin d'acheter des crédits d'émissions d'autres pays de Kyoto. Comme indiqué dans la section sur les émissions intergouvernemental de négociation , l'achat de crédits excédentaires en provenance des pays en transition ne serait pas effectivement entraîner des émissions totales étant réduite. Une alternative serait l'achat de crédits MDP ou de l'utilisation de l'volontaire Investment Scheme vert.
En Décembre 2011, le ministre de l'Environnement du Canada,Peter Kent, a annoncé officiellement quele Canada se retirerait de l'accord de Kyoto un jour après la fin de laConférence des Nations Unies sur les changements climatiques 2011 (voir la section sur leretrait du Canada).
Annexe I Parties sans objectifs de Kyoto
Belarus, Malte, et la Turquie sont Parties Annexe I mais ne possèdent pas les objectifs de Kyoto en première ronde. Les États-Unis a un objectif de Kyoto d'une réduction de 6% par rapport au niveau de 1990, mais n'a pas ratifié le traité. Émissions aux États-Unis ont augmenté de 11% depuis 1990, et selon Olivier et al. (2011), il sera incapable de respecter son objectif de Kyoto d'origine.
Si les Etats-Unis avaient ratifié le Protocole de Kyoto, la réduction moyenne en pourcentage des émissions totales de GES pour le groupe de l'annexe I aurait été une réduction par rapport à l'année de base de 5,2%. Y compris les États-Unis dans leur calcul, Olivier et al. (2011) prévoit que l'annexe I pays seraient collectivement parvenir à une réduction par rapport à l'année de base, ce qui est inférieur à l'objectif initial d'une réduction de 5,2% à 7%. Cette projection exclut les achats prévus de crédits d'émissions.
Non-annexe I


CCNUCC (2005) compilé et synthétisé l'information a rapporté à elle par des non-Parties de l'Annexe I. La plupart des Parties non visées à l'annexe appartenaient dans le groupe à faible revenu, avec très peu classés comme pays à revenu intermédiaire. La plupart des Parties visées à l'information sur les politiques relatives aux d??veloppement durable. priorités en matière de développement durable mentionnés par les Parties non visées à l'Annexe I compris la réduction de la pauvreté et l'accès à l'éducation de base et de soins de santé. De nombreuses Parties non visées à l'annexe I font des efforts pour modifier et mettre à jour leur législation environnementale à inclure des préoccupations mondiales telles que le changement climatique.
Quelques Parties ont, par exemple, l'Afrique du Sud et l'Iran , ont exprimé leur préoccupation sur la façon dont les efforts pour réduire les émissions de l'annexe I Parties pourraient nuire à leurs économies. Les économies de ces pays sont fortement tributaires des revenus générés par la production, la transformation et l'exportation de combustibles fossiles .
Émissions
Les émissions de GES, à l'exception du changement d'affectation des terres et foresterie (CATF), rapporté par 122 non-Annexe I Parties pour l'année 1994 ou l'année la plus proche rapporté, ont totalisé 11,7 milliards de tonnes (milliards = milliard) de CO 2 éq. CO 2 est la plus grande proportion des émissions (63%), suivi par du méthane (26%) et l'oxyde nitreux (N 2 O) (11%).
Le secteur de l'énergie était la plus grande source d'émissions pour 70 Parties, alors que pour 45 parties du secteur de l'agriculture était le plus grand. Les émissions par habitant (en tonnes de CO 2 -éq, hors CATF) en moyenne 2,8 tonnes pour la 122 non-Parties de l'Annexe I.
- De la région Afriqueémissions globales étaient 1,6 milliards de tonnes, avec des émissions par habitant de 2,4 tonnes.
- Les émissions globales de la région Asie et Pacifique ont été de 7,9 milliards de tonnes, avec des émissions par habitant de 2,6 tonnes.
- L'Amérique latine etles émissions globales de la région des Caraïbes étaient 2 milliards de tonnes, avec des émissions par habitant de 4,6 tonnes.
- La région «autres» comprend l'Albanie , l'Arménie, l'Azerbaïdjan , la Géorgie, Malte, la Moldavie et la Macédoine . Leurs émissions globales se chiffrent à 0,1 milliards de tonnes, avec des émissions par habitant de 5,1 tonnes.
Parties ont déclaré un niveau élevé d'incertitude des émissions de CATF, mais dans l'ensemble, il semblait y avoir seulement une petite différence de 1,7% avec et sans CATF. Avec CATF, les émissions étaient 11,9 milliards de tonnes, sans CATF, le total des émissions globales étaient 11,7 milliards de tonnes.
Tendances
Dans plusieurs grands pays en développement et les économies en croissance rapide (Chine, Inde, Thaïlande, Indonésie, Egypte, Iran) et les émissions de GES ont augmenté rapidement (PBL, 2009). Par exemple, les émissions de la Chine ont fortement augmenté au cours de la période 1990-2005, souvent de plus de 10% l'an. Les émissions par habitant dans les pays non-Annexe I sont encore, pour la plupart, beaucoup plus faible que dans les pays industrialisés. Non-pays de l'Annexe I ne sont pas des engagements quantitatifs de réduction des émissions, mais ils se sont engagés aux mesures d'atténuation. La Chine, par exemple, a eu un programme de politique nationale visant à réduire la croissance des émissions, qui prévoyait la fermeture de vieilles moins efficaces centrales, charbon.
Les estimations des coûts
Barker et al. (2007, p. 79) a évalué la littérature sur des estimations de coûts pour le Protocole de Kyoto. En raison de la participation non-US dans le traité de Kyoto, les estimations de coûts ont été jugés beaucoup plus bas que ceux estimés dans le précédent rapport du GIEC troisième. Sans la participation des États-Unis, et avec la pleine utilisation des mécanismes flexibles du Protocole de Kyoto, les coûts ont été estimés à moins de 0,05% de l'annexe B du PIB. Cela se compare à des estimations antérieures de 0,1-1,1%. Sans l'utilisation des mécanismes de flexibilité, coûts sans la participation des États-Unis ont été estimées à moins de 0,1%. Cela se compare à des estimations antérieures de 0,2-2%. Ces estimations de coûts ont été considérés comme étant basé sur beaucoup de preuves et de bon accord dans la littérature.
Vues sur le Protocole
Gupta et al. (2007) a évalué la littérature sur la politique de changement climatique. Ils ont constaté qu'aucune évaluation faisant autorité de la CCNUCC ou à son Protocole affirmé que ces accords ont eu, ou auront, réussir à résoudre le problème du changement climatique. Dans ces évaluations, on a supposé que la CCNUCC ou de son Protocole ne seraient pas modifiées. La Convention-cadre et son Protocole prévoient des dispositions pour les actions futures à prendre.
Gupta et al. (2007) décrit les engagements de Kyoto premier tour comme «modeste», affirmant qu'ils ont agi comme une contrainte sur l'efficacité du traité. Il a été suggéré que les engagements de Kyoto subséquents puissent être faits plus efficace avec des mesures visant à réaliser des réductions plus importantes des émissions, ainsi que d'avoir des politiques appliquées à une plus grande part des émissions mondiales. En 2008, les pays ayant un capuchon de Kyoto représentent moins d'un tiers des émissions de dioxyde de carbone mondiales annuelles de carburant combustion.
Banque mondiale (2010) a commenté sur la façon dont le Protocole de Kyoto avait seulement eu un léger effet sur ??????la réduction de la croissance mondiale des émissions. Le traité a été négocié en 1997, mais en 2006, les émissions de dioxyde de carbone liées à l'énergie avait augmenté de 24%. Banque mondiale (2010) a également déclaré que le traité avait fourni un soutien financier limité aux pays en développement pour les aider à réduire leurs émissions et d'adaptation au changement climatique.
Certaines des critiques du Protocole a été fondée sur l'idée de la justice climatique (Liverman, 2008, p. 14). Cela a particulièrement centré sur l'équilibre entre les faibles émissions et une grande vulnérabilité des pays en développement au changement climatique, par rapport à des émissions élevées dans le monde développé.
Certains écologistes ont soutenu le Protocole de Kyoto parce qu'il est «le seul jeu en ville", et peut-être parce qu'ils attendent que les futurs engagements de réduction des émissions peuvent exiger des réductions d'émissions plus strictes (Aldy et al. ., 2003, p. 9). En 2001, seize académies nationales des sciences a déclaré que la ratification du Protocole constituait une "petite mais essentielle première étape vers la stabilisation des concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre." Certains écologistes et des scientifiques ont critiqué les engagements existants pour être trop faible (Grubb, 2000, p. 5).
Les États-Unis (sous l'ancien président George W. Bush ) et l'Australie (initialement, sous l'ancien Premier ministre John Howard ) n'a pas ratifié le traité de Kyoto. Selon Stern (2006), leur décision était fondée sur l'absence d'engagements chiffrés concernant les émissions pour les économies émergentes (voir aussi l' partir 2,000 section). Australie, en vertu de l'ancien Premier ministre Kevin Rudd, a depuis ratifié le traité, qui a pris effet en Mars 2008.
Vues sur les mécanismes de flexibilité
Un autre domaine qui a été commenté est le rôle des Kyoto mécanismes de flexibilité - échange de droits d'émissions, mise en ??uvre conjointe et le mécanisme de développement propre (MDP). Les mécanismes de flexibilité ont attiré deux commentaires positifs et négatifs.
Comme mentionné précédemment, un certain nombre de Parties visées à l'annexe I ont mis en place des systèmes d'échange d'émissions (ETS) dans le cadre des efforts pour répondre à leurs engagements de Kyoto. Commentaires généraux sur le commerce des émissions sont contenues dans le commerce des émissions et de droits d'émission de carbone. Articles individuels sur le STE contiennent des commentaires sur ces régimes (voir Protocole de Kyoto # internationale Emissions Trading pour une liste des systèmes d'échange).
Un des arguments avancés en faveur des mécanismes de flexibilité est qu'ils peuvent réduire les coûts supportés par l'Annexe I Parties à respecter leurs engagements de Kyoto. Les critiques de la flexibilité ont, par exemple, compris l'inefficacité des échanges de droits d'émissions dans la promotion de l'investissement dans les sources d'énergie non fossiles, et les impacts négatifs des projets MDP sur les communautés locales dans les pays en développement.
Conférence des Parties
La réunion officielle de tous les États parties au Protocole de Kyoto est la Conférence des Parties . Il a lieu chaque année dans le cadre de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique, qui sert aussi de la réunion formelle de la CCNUCC. La premi??re Réunions des Parties du Protocole de Kyoto (MOP) a eu lieu en 2005 en conjonction avec la onzième conférences des parties à la CCNUCC. Aussi parties à la Convention qui ne sont pas parties au Protocole peuvent participer à des réunions relatives au Protocole en qualité d'observateurs. La première conférence a eu lieu en 1995 à Berlin, tandis que la conférence de 2012 a eu lieu à Doha.
Amendement et possibles successeurs
Dans le non-contraignante « Déclaration de Washington »ont convenu le 16 Février 2007, les chefs des gouvernements du Canada, de la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni, les États-Unis, le Brésil, la Chine , l'Inde , le Mexique et l'Afrique du Sud ont convenu en principe sur les grandes lignes d'un successeur au Protocole de Kyoto. Ils ont envisagé un système de plafonnement et d'échange mondial qui serait applicable à la fois aux pays industrialisés et les pays en développement, et d'abord espéraient qu'il serait en place d'ici 2009.
La Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Copenhague en Décembre 2009 a été l'un de la série annuelle de réunions des Nations Unies qui a suivi le Sommet de la Terre de 1992 à Rio. En 1997, les négociations ont conduit au Protocole de Kyoto, et de la conférence de Copenhague a été considéré comme la possibilité de convenir d'un successeur au Protocole de Kyoto qui amènerait des réductions significatives de carbone.
Le 2010 accords de Cancún comprennent des engagements volontaires pris par 76 pays développés et pays en développement à réduire leurs émissions de gaz de serre. En 2010, ces 76 pays étaient collectivement responsables de 85% des émissions mondiales annuelles.
En mai 2012, les Etats-Unis, le Japon, la Russie et le Canada avaient indiqué qu'ils ne signeraient pas à une deuxième période d'engagement de Kyoto. En Novembre 2012, l'Australie a confirmé qu'elle participerait à une deuxième période d'engagement au titre du Protocole de Kyoto et la Nouvelle-Zélande a confirmé qu'elle ne serait pas.
Le ministre du climat de la Nouvelle Zélande Tim Groser a dit le 15-year-old Protocole de Kyoto était dépassée, et que la Nouvelle-Zélande était "en avance sur la courbe" dans la recherche d'un remplaçant qui inclurait les pays en développement. Organismes environnementaux à but non lucratif comme le Fonds mondial pour la nature ont critiqué la décision de la Nouvelle-Zélande de se retirer.
Le 8 Décembre 2012, à la fin de la Conférence sur le changement climatique 2012 des Nations Unies, un accord a été conclu pour prolonger le protocole de 2020 et de fixer une date de 2015 pour l'élaboration d'un document successeur, à mettre en ??uvre à partir de 2020 (voir lede pour plus d'informations). Le résultat des négociations de Doha a reçu une réponse mitigée, avec des petits états critiques de l'enveloppe globale de l'île. La deuxième période d'engagement de Kyoto concerne environ 15% des émissions mondiales annuelles de gaz à effet de serre. Autres résultats de la conférence comprennent un calendrier pour un accord mondial doit être adopté en 2015, qui comprend tous les pays.