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Carl Friedrich Gauss

Sujets connexes: math??maticiens ; Math??matiques

Renseignements g??n??raux

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Carl Friedrich Gauss
Carl Friedrich Gauss.jpg
Carl Friedrich Gauss (1777-1855), peint par Christian Albrecht Jensen
N?? (30/04/1777) 30 Avril 1777
Braunschweig, Duch?? de Brunswick-Wolfenb??ttel, Saint-Empire romain
Mort 23 F??vrier 1855 (23/02/1855) (77 ans)
G??ttingen, Royaume de Hanovre
R??sidence Royaume de Hanovre
Nationalit?? Allemand
Les champs Math??matiques et physique
Institutions Universit?? de G??ttingen
Alma mater Universit?? de Helmstedt
Conseiller de doctorat Johann Friedrich Pfaff
Autres conseillers p??dagogiques Johann Christian Martin Bartels
Doctorants Friedrich Bessel
Christoph Gudermann
Christian Ludwig Gerling
Richard Dedekind
Johann Encke
Johann Annonce
Bernhard Riemann
Christian Peters
Moritz Cantor
D'autres ??tudiants remarquables Johann Dirichlet
Gotthold Eisenstein
Carl Wolfgang Benjamin Goldschmidt
Gustav Kirchhoff
Ernst Kummer
Ao??t Ferdinand M??bius
LC Schn??rlein
Julius Weisbach
Connu pour Voir la liste compl??te
Influenc?? Sophie Germain
Prix remarquables M??daille Copley (1838)
Signature

Johann Carl Friedrich Gauss (pron .: / ɡ s /; allemande : Gauss, prononc??e [ɡaʊs]; latine : Carolus Fridericus Gauss) (30 Avril 1777 au 23 F??vrier 1855) ??tait un Allemand math??maticien et physicien qui ont contribu?? de mani??re significative ?? de nombreux domaines, y compris la th??orie des nombres , l'alg??bre , statistiques , analyse , g??om??trie diff??rentielle , g??od??sie, g??ophysique, ??lectrostatique, l'astronomie et l'optique .

Parfois d??nomm?? Mathematicorum Princeps ( latine , "le prince des math??maticiens?? ou ??le premier des math??maticiens??) et ??plus grand math??maticien depuis l'antiquit??", Gauss a eu une influence remarquable dans de nombreux domaines des math??matiques et de la science et se classe comme l'un des math??maticiens les plus influents de l'histoire. Il se est r??f??r?? aux math??matiques comme ??la reine des sciences??.

Les premi??res ann??es (1777-1798)

Statue de Gauss dans sa ville natale, Braunschweig

Carl Friedrich Gauss est n?? le 30 Avril 1777 ?? Braunschweig (Brunswick), dans le Duch?? de Braunschweig-Wolfenb??ttel, fait maintenant partie de Basse-Saxe, Allemagne , comme le fils de parents pauvres de la classe ouvri??re. En effet, sa m??re ??tait analphab??te et n'a jamais enregistr?? la date de sa naissance, se souvenant seulement qu'il ??tait n?? un mercredi, huit jours avant la F??te de l'Ascension, qui se se produit 40 jours apr??s P??ques . Gauss plus tard r??soudre ce puzzle sur sa date de naissance dans le contexte de trouver la date de P??ques, l'??tablissement de m??thodes pour calculer la date dans les deux ann??es pass??es et futures. Il a ??t?? baptis?? et confirm?? dans une ??glise pr??s de l'??cole il a assist?? comme un enfant.

Gauss ??tait enfant prodige. Il existe de nombreuses anecdotes sur sa pr??cocit?? tandis qu'un enfant en bas ??ge, et il a fait ses premi??res d??couvertes math??matiques r??volutionnaires alors qu'il ??tait encore adolescent. Il a compl??t?? Disquisitiones Arithmeticae, son magnum opus, en 1798 ?? l'??ge de 21 ans, se il n'a pas ??t?? publi?? jusqu'en 1801. Ce travail a ??t?? fondamental dans la consolidation de la th??orie des nombres en tant que discipline et a fa??onn?? le champ ?? nos jours.

Capacit??s intellectuelles de Gauss ont attir?? l'attention de la Duc de Brunswick, qui l'a envoy?? ?? l'Collegium Carolinum (maintenant Technische Universit??t Braunschweig), auquel il a assist?? de 1792 ?? 1795, et ?? la Universit?? de G??ttingen de 1795 ?? 1798. Pendant son s??jour ?? l'universit??, Gauss red??couvert ind??pendamment plusieurs th??or??mes importants; sa perc??e a eu lieu en 1796 quand il a montr?? que toute r??gulier polygone avec un nombre de c??t??s qui est un Fermat premier (et, par cons??quent, ces polygones avec ne importe quel nombre de c??t??s qui est le produit de nombres premiers de Fermat distincts et une puissance de 2) peut ??tre construit en r??gle et au compas . Ce ??tait une d??couverte majeure dans un domaine important des math??matiques; probl??mes de construction avaient occup?? les math??maticiens depuis l'??poque des Grecs anciens , et la d??couverte de Gauss a finalement conduit ?? choisir les math??matiques au lieu de philologie comme une carri??re. Gauss ??tait si heureux de ce r??sultat qu'il a demand?? qu'un r??guli??re Heptad??cagone ??tre inscrit sur sa pierre tombale. Le ma??on a refus??, disant que la construction serait difficile essentiellement ressembler ?? un cercle.

L'ann??e 1796 a ??t?? la plus productive pour les deux Gauss et la th??orie des nombres. Il a d??couvert une construction de la Heptad??cagone le 30 Mars. Il se avan??a encore arithm??tique modulaire , ce qui simplifie grandement les manipulations en th??orie des nombres. Le 8 Avril, il est devenu le premier ?? prouver la la loi de r??ciprocit?? quadratique. Cette loi permet math??maticiens remarquablement g??n??rale pour d??terminer la solvabilit?? d'une ??quation quadratique en arithm??tique modulaire. Le th??or??me des nombres premiers, conjectur?? le 31 mai, donne une bonne compr??hension de la fa??on dont les nombres premiers sont r??partis entre les nombres entiers. Gauss a ??galement d??couvert que chaque nombre entier positif est repr??sentable comme la somme d'au plus trois nombres triangulaires le 10 Juillet et puis notaient dans son journal la fameuse note: " ΕΥΡΗΚΑ! num = Δ + Δ + Δ ". Le 1er Octobre, il a publi?? un r??sultat sur le nombre de solutions de polyn??mes ?? coefficients dans les corps finis, qui ont conduit 150 ans plus tard ?? la Conjectures de Weil.

Moyen ann??es (1799-1830)

Dans son doctorat en 1799 contumace, une nouvelle preuve du th??or??me que chaque fonction alg??brique rationnelle int??grante d'une variable peut ??tre r??solu en facteurs r??els du premier ou du second degr??, Gauss a prouv?? la th??or??me fondamental de l'alg??bre qui stipule que chaque seule variable non constante polyn??me ?? coefficients complexes a au moins un complexe racine. Les math??maticiens y compris Jean le Rond d'Alembert avait produit de fausses preuves devant lui, et la dissertation de Gauss contient une critique du travail de d'Alembert. Ironie du sort, par le niveau d'aujourd'hui, propre tentative de Gauss ne est pas acceptable, en raison de l'utilisation implicite de la Th??or??me de Jordan. Toutefois, il a produit par la suite trois autres preuves, le dernier en 1849 ??tant g??n??ralement rigoureux. Ses tentatives de clarifier le concept des nombres complexes consid??rablement le long du chemin.

Gauss a ??galement fait d'importantes contributions ?? la th??orie des nombres avec son livre 1801 Disquisitiones Arithmeticae ( latine , arithm??tiques enqu??tes), qui, parmi les choses, introduit le symbole ≡ la congruence et utilis?? dans une pr??sentation propre de l'arithm??tique modulaire , contenait les deux premi??res ??preuves de la loi du r??ciprocit?? quadratique, d??velopp?? les th??ories de binaires et ternaires formes quadratiques, a d??clar?? le classe probl??me de nombre pour eux, et a montr?? qu'un r??guli??re Heptad??cagone (polygone de 17 c??t??s) peut ??tre construit avec r??gle et le compas .

Page de titre de Gauss Disquisitiones Arithmeticae

Dans la m??me ann??e, italienne astronome Giuseppe Piazzi a d??couvert le plan??te naine C??r??s . Piazzi ne pouvait suivre Ceres pendant quelques mois, ?? la suite pour trois degr??s dans le ciel de nuit. Puis il a disparu temporairement derri??re l'??clat du Soleil Plusieurs mois plus tard, quand Ceres auraient r??apparu, Piazzi ne pouvait pas le localiser: les outils math??matiques de l'??poque ne ??taient pas en mesure d'extrapoler une position d'une telle quantit?? de donn??es peu-trois degr??s repr??sentent moins de 1% de l'orbite totale.

Gauss, qui avait 23 ans ?? l'??poque, a entendu parler du probl??me et qu'il a abord??. Apr??s trois mois de travail intense, il a pr??dit une position pour Ceres en D??cembre 1801, juste un an apr??s sa premi??re observation et cela se est av??r?? ??tre pr??cis dans un demi-degr?? quand il a ??t?? red??couvert par Franz Xaver von Zach le 31 D??cembre au Gotha, et un jour plus tard par Heinrich Olbers dans Br??me.

La m??thode de Gauss a consist?? ?? d??terminer une section conique dans l'espace, ??tant donn?? une mise au point (le Soleil) et l'intersection de la conique avec trois lignes donn??es (lignes de vue de la Terre, qui est lui-m??me le d??placement sur une ellipse, ?? la plan??te) et ??tant donn?? le temps qu'il prend la plan??te ?? traverser les arcs d??termin??es par ces lignes (?? partir de laquelle les longueurs des arcs peuvent ??tre calcul??s par la deuxi??me loi de Kepler). Ce probl??me conduit ?? une ??quation du huiti??me degr??, dont une solution, l'orbite de la Terre, est connue. La solution recherch?? est ensuite s??par?? de la six restants sur la base de conditions physiques. Dans ce travail, Gauss a utilis?? des m??thodes d'approximation complets qu'il a cr???? ?? cette fin.

Un tel proc??d?? est le transform??e de Fourier rapide. Bien que cette m??thode est traditionnellement attribu?? ?? un document 1965 par JW Cooley et JW Tukey, Gauss d??velopp?? comme une m??thode d'interpolation trigonom??trique. Son papier, Theoria Interpolationis Methodo Nouvelle Tractata, ne fut publi?? ?? titre posthume dans le volume 3 de ses ??uvres compl??tes. Ce document est ant??rieur ?? la premi??re pr??sentation par Joseph Fourier sur le sujet en 1807.

Zach a not?? que ??sans le travail intelligent et calculs du docteur Gauss nous ne aurions pas trouv?? Ceres nouveau". Bien que Gauss avait jusque-l?? ??t?? soutenu financi??rement par son traitement du duc, il dout?? de la s??curit?? de cet arrangement, et n'a pas non plus croire que les math??matiques pures pour ??tre suffisamment important pour m??riter l'appui. Ainsi il a cherch?? une position dans l'astronomie, et en 1807 a ??t?? nomm?? professeur d'astronomie et directeur de l'astronomie observatoire de G??ttingen, un poste qu'il a occup?? pendant le reste de sa vie.

La d??couverte de C??r??s conduit Gauss ?? son travail sur une th??orie du mouvement des plan??to??des perturb?? par de grandes plan??tes, ??ventuellement publi??es en 1809 comme Theoria motus corporum coelestium dans sectionibus conicis solem Ambientum (th??orie du mouvement des corps c??lestes se d??pla??ant dans les sections coniques autour de la Sun). Dans le processus, il le rationalis?? les math??matiques lourdeur de pr??vision orbitale du 18??me si??cle que son travail demeure une pierre angulaire du calcul astronomique. Il a introduit le Constante gravitationnelle gaussien, et contenait un traitement influent de la m??thode des moindres carr??s , une proc??dure utilis??e dans toutes les sciences ?? ce jour afin de minimiser l'impact de l'erreur de mesure. Gauss a prouv?? la m??thode dans l'hypoth??se d' une distribution normale des erreurs (voir Th??or??me de Gauss-Markov; voir aussi Gaussienne). Le proc??d?? a ??t?? d??crit pr??c??demment par Adrien-Marie Legendre en 1805, mais Gauss affirm?? qu'il avait ??t?? utilis?? depuis 1795.

Le portrait de Gauss publi?? en Astronomische Nachrichten 1828

En 1818, Gauss, mettant ses comp??tences de calcul en pratique, r??alis?? une g??od??siques de la Royaume de Hanovre, le lien avec les pr??c??dents danois enqu??tes. Pour aider l'enqu??te, Gauss a invent?? le h??liotrope, un instrument qui utilise un miroir pour refl??ter la lumi??re du soleil sur de grandes distances, pour mesurer les positions.

Gauss a ??galement affirm?? avoir d??couvert la possibilit?? de g??om??tries non-euclidiennes, mais jamais publi?? il. Cette d??couverte a ??t?? un changement de paradigme majeur dans les math??matiques, car il a lib??r?? les math??maticiens de la croyance erron??e que les axiomes d'Euclide ??taient le seul moyen de faire la g??om??trie coh??rente et non contradictoire. La recherche sur ces g??om??tries conduit, entre autres choses, Einstein la th??orie de la relativit?? g??n??rale, qui d??crit l'univers comme non-euclidienne. Son ami Farkas Wolfgang Bolyai avec qui Gauss avait jur?? "la fraternit?? et la banni??re de la v??rit??" en tant qu'??tudiant, avait essay?? en vain pendant de nombreuses ann??es pour prouver le postulat parall??le aupr??s d'autres axiomes de la g??om??trie d'Euclide. Le fils de Bolyai, J??nos Bolyai, d??couvrit g??om??trie non-euclidienne en 1829; son travail a ??t?? publi?? en 1832. Apr??s l'avoir vu, Gauss ??crivit ?? Farkas Bolyai: "Pour l'??loge reviendrait ?? me louer Pour l'ensemble du contenu de l'??uvre ... co??ncide presque exactement avec mes propres m??ditations qui ont occup?? mon esprit. les trente ou trente-cinq derni??res ann??es. "

Cette d??claration non prouv??e mis une pression sur sa relation avec J??nos Bolyai (qui pensait que Gauss a ??t?? "vol??" son id??e), mais il est maintenant g??n??ralement prises ?? leur valeur nominale. Lettres de Gauss ann??es avant 1829 r??v??lent lui obscur??ment discuter le probl??me de lignes parall??les. Waldo Dunnington, un biographe de Gauss, plaide en Gauss, Titan de la science que Gauss ??tait en fait en pleine possession de g??om??trie non-euclidienne longtemps avant qu'il a ??t?? publi?? par J??nos Bolyai, mais qu'il a refus?? de publier quoi que ce soit ?? cause de sa peur de la controverse.

L'enqu??te de Hanovre a aliment?? l'int??r??t de Gauss dans la g??om??trie diff??rentielle , un domaine des math??matiques traitant de courbes et surfaces. Entre autres choses, il est venu avec la notion de Courbure gaussienne. Cela a conduit en 1828 ?? un th??or??me important, le Theorema egregium (th??or??me remarquable), instituant une propri??t?? importante de la notion de courbure. De fa??on informelle, le th??or??me dit que la courbure d'une surface peut ??tre d??termin??e enti??rement par la mesure des angles et des distances sur la surface. Ce est-?? courbure ne d??pend pas de la fa??on dont la surface peut ??tre incorpor?? dans l'espace ?? 3 dimensions ou espace 2 dimensions.

En 1821, il a ??t?? nomm?? membre ??tranger de la Acad??mie royale des sciences de Su??de.

Ans plus tard, la mort (1831-1855)

Daguerr??otype de Gauss sur son lit de mort, 1855.
Grave de Gauss au Albanifriedhof dans G??ttingen, Allemagne .

En 1831, Gauss a d??velopp?? une collaboration fructueuse avec le professeur de physique Wilhelm Weber, conduisant ?? de nouvelles connaissances dans le magn??tisme (y compris trouver une repr??sentation pour l'unit?? du magn??tisme en termes de masse, de longueur et de temps) et la d??couverte de Lois de Kirchhoff de l'??lectricit??. Ce est durant cette p??riode qu'il a formul?? son homonyme loi . Ils ont construit le premier t??l??graphe ??lectrom??canique en 1833, qui reliait l'observatoire avec l'institut de physique ?? G??ttingen. Gauss a ordonn?? un champ magn??tique observatoire pour ??tre construit dans le jardin de l'observatoire, et avec Weber a fond?? le "Magnetischer Verein" (club magn??tique dans allemand ), qui a soutenu les mesures du champ magn??tique de la Terre dans de nombreuses r??gions du monde. Il a d??velopp?? une m??thode de mesure de l'intensit?? horizontale du champ magn??tique qui ??tait en usage jusque dans la seconde moiti?? du 20??me si??cle, et a travaill?? sur la th??orie math??matique pour s??parer l'int??rieur et ext??rieur ( magn??tosph??re) sources du champ magn??tique de la Terre.

En 1840, Gauss a publi?? son influent Dioptrische Untersuchungen, dans lequel il a donn?? la premi??re analyse syst??matique sur la formation d'images sous un approximation paraxiale ( Optique de type Gauss). Parmi ses r??sultats, Gauss a montr?? que, dans une approximation paraxiale un syst??me optique peut ??tre caract??ris?? par son points cardinaux et il d??riv??s de la formule de la lentille de Gauss.

En 1854, Gauss notamment choisi le th??me de Bernhard Riemann s 'd??sormais c??l??bre Habilitationvortrag, ??ber die Hypothesen, welche der Geometrie zu Grunde liegen. Sur le chemin du retour de la conf??rence de Riemann, Weber a indiqu?? que Gauss ??tait plein d'??loges et d'excitation.

Gauss est mort ?? G??ttingen, dans le Royaume de Hanovre (maintenant partie de Basse-Saxe, Allemagne) en 1855 et est enterr?? dans le Albanifriedhof cimeti??re l??. Deux individus ont donn?? des ??loges ?? son enterrement: Gauss fils-fr??re Heinrich Ewald et Wolfgang von Waltershausen Sartorius, qui ??tait proche ami et biographe de Gauss. Son cerveau a ??t?? conserv?? et a ??t?? ??tudi?? par Rudolf Wagner qui a trouv?? sa masse soit 1492 grammes et la zone c??r??brale ??gal ?? 219 588 millim??tres carr??s (340,362 pouces carr??s). Circonvolutions tr??s d??velopp??s ont ??galement ??t?? trouv??s, ce qui dans le d??but du 20e si??cle a ??t?? sugg??r?? que l'explication de son g??nie.

Religion

B??hler ??crit que, selon la correspondance avec Rudolf Wagner, Gauss ne semble pas croire en un dieu personnel. Il a ??t?? dit ??tre un d??iste. Il affirme en outre que, bien que Gauss croyait fermement en l'immortalit?? de l'??me et en quelque sorte de la vie apr??s la mort, ce ne ??tait pas d'une mani??re qui pourrait ??tre interpr??t??e comme chr??tienne.

Selon Dunnington, la religion de Gauss a ??t?? bas??e sur la recherche de la v??rit??. Il croyait en "l'immortalit?? de l'individualit?? spirituelle, dans une permanence personnelle apr??s la mort, dans un dernier ordre des choses, dans un Dieu ??ternel, juste, omniscient et omnipotent". Gauss a ??galement confirm?? la tol??rance religieuse, croyant ?? tort d??ranger les autres qui ??taient en paix avec leurs propres croyances.

Famille

Gauss de la fille Th??r??se (1816-1864)

Vie personnelle de Gauss a ??t?? ??clips?? par la mort pr??matur??e de sa premi??re femme, Johanna Osthoff, en 1809, bient??t suivi par la mort d'un enfant, Louis. Gauss plong?? dans une la d??pression ?? partir de laquelle il n'a jamais compl??tement r??cup??r??. Il se est mari?? ?? nouveau, au meilleur ami de Johanna nomm?? Friederica Wilhelmine Waldeck mais commun??ment connu comme Minna. Quand sa seconde ??pouse est d??c??d??e en 1831 apr??s une longue maladie, une de ses filles, Th??r??se, a repris le m??nage et soign??s Gauss jusqu'?? la fin de sa vie. Sa m??re a v??cu dans sa maison de 1817 jusqu'?? sa mort en 1839.

Gauss avait six enfants. Avec Johanna (1780-1809), ses enfants ??taient Joseph (1806-1873), Wilhelmina (1808-1846) et Louis (1809-1810). De tous les enfants de Gauss, Wilhelmina a dit ??tre venu plus proche de son talent, mais elle est morte jeune. Avec Minna Waldeck il a ??galement eu trois enfants: Eug??ne (1811-1896), Wilhelm (1813-1879) et Th??r??se (1816-1864). Eugene partag?? une bonne mesure du talent de Gauss en langues et calcul. Th??r??se tenait la maison pour Gauss jusqu'?? sa mort, apr??s quoi elle se est mari??e.

Gauss a finalement d?? conflits avec ses fils. Il ne voulait pas de ses fils pour entrer math??matiques ou les sciences pour "peur de l'abaissement du nom de famille". Gauss voulait Eugene pour devenir un avocat, mais Eug??ne voulait ??tudier les langues. Ils avaient un argument sur une partie Eugene lieu, qui Gauss a refus?? de payer. Le fils a quitt?? dans la col??re et, dans environ 1832, a ??migr?? aux ??tats-Unis, o?? il ??tait tout ?? fait r??ussie. Wilhelm a ??galement r??gl?? dans Missouri, en commen??ant par un fermier et plus tard, devenir riche dans le domaine de la chaussure dans St. Louis. Il a fallu de nombreuses ann??es pour le succ??s de Eugene pour contrecarrer sa r??putation parmi les amis et coll??gues de Gauss. Voir ??galement la lettre de Robert Gauss ?? F??lix Klein le 3 Septembre 1912.

Personnalit??

Gauss ??tait un ardent perfectionniste et un travailleur acharn??. Il n'a jamais ??t?? un ??crivain prolifique, refusant de publier des travaux dont il n'a pas jug?? complet et dessus de toute critique. Ce ??tait conforme ?? sa devise personnelle pauca de matura sed ("quelques-uns, mais m??rs"). Ses journaux intimes indiquent qu'il avait fait plusieurs ann??es ou d??cennies des d??couvertes math??matiques importantes avant ses contemporains les publier. Historien math??matique Eric Temple Bell a estim?? que, si Gauss publi?? tous ses d??couvertes en temps opportun, il aurait avanc?? math??matiques en cinquante ans.

Bien qu'il ne prenne en quelques ??tudiants, Gauss a ??t?? connu pour ne pas aimer l'enseignement. Il est dit qu'il a assist?? ?? une seule conf??rence scientifique, qui ??tait dans Berlin en 1828. Cependant, plusieurs de ses ??tudiants est devenu math??maticiens influents, parmi eux Richard Dedekind, Bernhard Riemann , et Friedrich Bessel. Avant de mourir, Sophie Germain a ??t?? recommand?? par Gauss pour recevoir son dipl??me honorifique.

Gauss g??n??ralement refus?? de pr??senter l'intuition derri??re ses souvent tr??s ??l??gantes preuves-il les pr??f??rait ?? appara??tre "?? partir de rien" et effac?? toutes les traces de la fa??on dont il les a d??couverts. Cela se justifie, si insatisfaisante, par Gauss dans son " Disquisitiones Arithmeticae ", o?? il affirme que toutes les analyses (ce est ?? dire, les chemins une parcourir pour atteindre la solution d'un probl??me) doit ??tre supprim??e par souci de bri??vet??.

Gauss a soutenu la monarchie et se oppose ?? Napol??on , qu'il voyait comme une excroissance de la r??volution .

Anecdotes

Il ya plusieurs histoires de son d??but de g??nie. Selon un, ses dons sont devenus tr??s apparente ?? l'??ge de trois ans quand il a corrig??, mentalement et sans faute dans ses calculs, une erreur son p??re avait fait sur le papier tout en calculant les finances.

Un autre c??l??bre histoire veut que dans l'??cole primaire apr??s que le jeune Gauss se conduit mal, son professeur, JG B??ttner, lui a donn?? une t??che: ajouter une liste de nombres entiers dans progression arithm??tique; que l'histoire est le plus souvent dit, ce sont les nombres de 1 ?? 100. Le jeune Gauss produit r??put?? la bonne r??ponse en quelques secondes, ?? l'??tonnement de son professeur et son assistant Martin Bartels.

M??thode pr??sum??e de Gauss ??tait de r??aliser que l'addition par paire de termes ?? partir des extr??mit??s oppos??es de la liste sommes interm??diaires donnaient identiques: 1 + 100 = 101, 2 + 99 = 101, 3 + 98 = 101, et ainsi de suite, pour un montant total de 50 ?? 101 = 5050. Toutefois, les d??tails de l'histoire sont, au mieux, incertaine (voir la discussion de l'original Source de Wolfgang von Waltershausen Sartorius et les changements dans d'autres versions); certains auteurs, comme Joseph Rotman dans son livre Un premier cours de Abstract Algebra, se demandent se il ne se ??tait pass??.

Selon Isaac Asimov , Gauss a ??t?? une fois interrompu au milieu d'un probl??me et a dit que sa femme ??tait en train de mourir. Il est cens?? avoir dit: ??Dites-lui d'attendre un moment jusqu'?? ce que je en ai fini." Cette anecdote est bri??vement discut??e dans Gauss G. Waldo Dunnington, Titan de la Science o?? il est sugg??r?? que ce est un apocryphe histoire.

Comm??morations

10- allemande Deutsche Mark billets (1993; abandonn??es) avec Gauss
Gauss (??g?? d'environ 26) sur Allemagne de l'Est timbre produite en 1977. A c??t?? de lui: Heptad??cagone, r??gle et au compas .

De 1989 ?? 2001, le portrait de Gauss, une courbe de distribution normale et certains de premier plan G??ttingen b??timents ont ??t?? pr??sent??s sur les dix-mark allemand billet. L'inverse en vedette le h??liotrope et un approche de triangulation pour Hannover. L'Allemagne a ??galement ??mis trois timbres honorant Gauss. Un (. 725 pas) est apparu en 1955 sur le centi??me anniversaire de sa mort; deux autres, nos. 1246 et 1811, en 1977, le 200e anniversaire de sa naissance.

2005 roman de Daniel Kehlmann Die Welt der Vermessung, traduit en anglais par Arpenteurs du monde (2006), explore la vie de Gauss et de travailler ?? travers une lentille de la fiction historique, les opposant ?? celles de l'explorateur allemand Alexander von Humboldt.

En 2007, un buste de Gauss a ??t?? plac??e dans le Temple Walhalla.

Choses nomm??es en l'honneur de Gauss comprennent:

  • D??magn??tisation, le processus d'??limination d'un champ magn??tique.
  • Le CGS Unit?? pour champ magn??tique a ??t?? nomm?? gauss en son honneur,
  • Le crat??re Gauss sur la Lune ,
  • Ast??ro??de 1001 Gaussia,
  • Le bateau Gauss, utilis?? dans la Gauss exp??dition en Antarctique,
  • Mont Gauss, un volcan ??teint d??couvert par l'exp??dition mentionn??s ci-dessus,
  • Gau??turm, une tour d'observation dans Dransfeld, l'Allemagne ,
  • Dans les ??coles secondaires de premier cycle canadiens, un concours annuel de math??matiques (concurrence math??matiques Gauss) administr?? par le Centre d'??ducation en math??matiques et en informatique est nomm?? en l'honneur de Gauss,
  • En Universit?? de Californie, Santa Cruz, ?? College Couronne, un b??timent dortoir est nomm?? d'apr??s lui,
  • Le Gauss Haus, un Centre RMN au Universit?? de l'Utah,
  • Le Carl-Friedrich-Gau?? ??cole pour les math??matiques, informatique, administration des affaires, ??conomie et sciences sociales de Universit?? de Braunschweig,
  • Le b??timent Gauss - Universit?? de l'Idaho (College of Engineering).

En 1929, le Polonais math??maticien Marian Rejewski, qui permettrait de r??soudre le allemand Enigma machine de chiffrement en D??cembre 1932, a commenc?? ?? ??tudier statistiques actuarielles ?? G??ttingen. ?? la demande de son Professeur ?? l'Universit?? de Poznań, Zdzisław Krygowski, en arrivant ?? G??ttingen Rejewski a d??pos?? des fleurs sur la tombe de Gauss.

??crits

  • 1799: Th??se de doctorat sur la Th??or??me fondamental de l'alg??bre, avec le titre: Demonstratio nova theorematis omnem functionem algebraicam rationalem INTEGRAM unius variabilis dans factores reales primi vel secundi gradus resolvi posse ("Nouvelle preuve du th??or??me que chaque fonction alg??brique int??grante d'une variable peut ??tre r??solu en facteurs r??els ( ce est ?? dire, les polyn??mes) du premier ou du deuxi??me degr?? ")
  • 1801: Disquisitiones Arithmeticae. Traduction allemande par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (Deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 1-453. Traduction anglaise par Arthur A. Clarke Disquisitiones Arithemeticae (Deuxi??me ??dition, corrig??e). New York: Springer. 1986. ISBN 0-387-96254-9.
  • 1808: Theorematis arithmetici demonstratio nova. G??ttingen: Commentaire. Soc. regiae sci, G??ttingen XVI. Traduction allemande par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (Deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 457-462 [lance Lemme de Gauss, l'utilise dans la troisi??me preuve de r??ciprocit?? quadratique]
  • 1809: Theoria Motus Corporum Coelestium dans sectionibus conicis solem ambientium (Theorie der Bewegung der Himmelsk??rper, die die Sonne dans Kegelschnitten umkreisen), traduction anglaise par CH Davis, r??imprim?? 1963, Dover, New York.
  • 1811: Summatio serierun quarundam singularium. G??ttingen: Commentaire. Soc. regiae sci, G??ttingen. Traduction allemande par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (Deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 463-495 [D??termination du signe de la quadratique somme de Gauss, utilise pour donner la quatri??me preuve de r??ciprocit?? quadratique]
  • 1812: Disquisitiones Generales Circa Seriem Infinitam 1+ \ frac {\ alpha \ beta} {\ gamma.1} + \ mbox {etc.}
  • 1818: Theorematis fundamentallis dans doctrina de residuis quadraticis demonstrationes et amplicationes novae. G??ttingen: Commentaire. Soc. regiae sci, G??ttingen. Traduction allemande par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (Deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 496-510 [Cinqui??me et sixi??me ??preuves de r??ciprocit?? quadratique]
  • 1821, 1823 et 1826: Theoria combinationis observationum erroribus minimis obnoxiae. Drei Abhandlungen betreffend die als Grundlage Wahrscheinlichkeitsrechnung des Gau??'schen Fehlerfortpflanzungsgesetzes. (Trois essais concernant le calcul des probabilit??s que la base de la loi gaussienne de propagation d'erreur) de traduction anglais par GW Stewart, 1987, Soci??t?? pour les math??matiques industrielles.
  • 1827: Disquisitiones generales circa superficies curvas, Commentationes societatis Regiae Scientiarum Gottingesis recentiores. Volume VI, pp. 99-146. " Enqu??tes g??n??rales de surfaces courbes "(1965) publi??s Raven Press, New York, traduits par AMHiltebeitel et JCMorehead.
  • 1828: Theoria biquadraticorum de residuorum, Commentatio prima. G??ttingen: Commentaire. Soc. regiae sci, G??ttingen 6. traduction allemande par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 511-533 [faits ??l??mentaires sur r??sidus biquadratiques, prouve l'un des suppl??ments de la loi du la r??ciprocit?? biquadratique (le caract??re biquadratique de 2)]
  • 1832: Theoria biquadraticorum de residuorum, Commentatio secunda. G??ttingen: Commentaire. Soc. regiae sci, G??ttingen sept. Traduction allemand par H. Maser Untersuchungen ??ber h??here Arithmetik (Disquisitiones Arithmeticae et autres documents sur la th??orie des nombres) (deuxi??me ??dition). New York: Chelsea. 1965. ISBN 0-8284-0191-8, pp. 534-586 [lance le Entiers de Gauss, des ??tats (sans preuve) de la loi la r??ciprocit?? biquadratique, prouve la loi suppl??mentaire pour 1 + i]
  • 1843-1844: Untersuchungen ??ber Gegenst??nde der H??heren Geod??sie. Erste Abhandlung, Abhandlungen der Gesellschaft der Wissenschaften K??niglichen ?? G??ttingen. Zweiter Band, pp. 3-46
  • 1846-1847: Untersuchungen ??ber Gegenst??nde der H??heren Geod??sie. Zweite Abhandlung, Abhandlungen der Gesellschaft der Wissenschaften K??niglichen ?? G??ttingen. Dritter Band, pp. 3-44
  • Mathematisches Tagebuch 1796-1814, Ostwaldts Klassiker, Harri Deutsch Verlag 2005, mit Anmerkungen von Neumamn, ISBN 978-3-8171-3402-1 (traduction anglaise avec annotations par Jeremy Gray:. Expositiones Math 1984)
  • ??uvres collectives de Gauss sont en ligne ici, dont les traductions allemandes de textes latins et commentaires par diverses autorit??s
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